Après de longues années de travail et la collaboration d’une cinquantaine de spécialistes à travers le monde, ce magnifique ouvrage qu’est « Les Insectes du Monde » voit enfin le jour. Pour tous les entomologistes, qu’ils soient amateurs ou professionnels, cette œuvre fera très certainement parti des incontournables ! Les différentes familles d’insectes et leur détermination n’auront plus de secrets ! Le coffret, qui contiendra 3 tomes, est disponible à la pré-commande au lien suivant, avec une remise de 15% : Éditions Museo – Les Insectes du Monde
Cela me rappelle le fascicule « Les insectes d’Afrique et d’Amérique tropicale : clés pour la reconnaissance des familles », d’Henri-Pierre Aberlenc et Gérard Delvare, dont j’ai fait l’acquisition lors d’un stage et qui m’avait été d’une aide précieuse pour déterminer la plupart des familles auxquelles je fus confronté. Un livret somme toute également utilisable dans nos contrées et que je consulte encore régulièrement aujourd’hui, en veillant à l’évolution de la classification depuis sa parution. J’attendais donc la publication de ce nouveau et colossal travail avec impatience !
Au cœur de la vallée de la Marque, ces marais, partagés entre les communes de Fretin, Péronne-en-Mélantois et Templeuve, ont été restaurés et entièrement réaménagés par le département du Nord.
Situé à quelques kilomètres de la métropole lilloise, le site s’impose comme l’un des plus intéressants de l’agglomération, et permet l’observation d’un large cortège d’espèces aquatiques.
Les zones boisées et plus ouvertes s’annoncent tout aussi intéressantes pour les passereaux hivernaux : Tarins des aulnes et Pinsons du Nord seront à rechercher en particulier. Quelques espèces rares sont également susceptibles d’être vues.
Espèces potentielles : espèces aquatiques et forestières communes, Bécassine des marais, Martin-pêcheur d’Europe, Grande Aigrette, Râle d’eau, Pinson du Nord, Tarin des Aulnes.
Lieu de rendez-vous : Parking du site, Route de Templeuve, 59273 Fretin. Voir plan ci-dessous (GPS : 50° 33′ 28.8 » N – 3° 09′ 46.8 » E ou 50.557996, 3.162999) – Covoiturage possible en fonction de votre lieu de départ.
Heure de rendez-vous : 8h30 – Fin vers 12h30 – Tarif d’une demi-journée
Reprise des sorties après une période d’absence liée à un contrat !
Situé à coté du massif forestier de Phalempin, l’Espace Naturel Sensible (ENS) des Cinq-Tailles, composé d’une partie boisée de plus de 70 hectares et deux étendues d’eau de 35 hectares, constitue une formidable réserve pour l’avifaune.
L’espace est issu d’une reconversion d’un ancien site industriel abandonné : les bassins de décantation des boues de lavage des betteraves à sucre de l’usine Béghin-Say. Les étangs, issus de ces bassins, représentent un lieu idéal pour les oiseaux en halte migratoire et pour les hivernants qui s’y installent.
La partie boisée nous permettra également d’observer tout un cortège de passereaux forestiers, et nous offrira peut-être la chance de croiser quelques Pics !
Espèces potentielles : espèces aquatiques et forestières communes, Pics, Pinson du Nord, Bouvreuil pivoine, Grosbec casse-noyaux, …. et pourquoi pas quelques raretés !
Lieu de rendez-vous : Parking du site ornithologique des Cinq-Tailles, 56 rue Émile Zola, 59239 Thumeries. Voir plan ci-dessous (GPS : 50° 28′ 42.593″ N – 3° 3′ 52.79″ E ou 50.478498, 3.064664)
Heures de rendez-vous : 8h30 – Fin vers 12h30 – Tarif d’une demi-journée
La matinée s’annonce chaude et ensoleillée à notre arrivée au Marais du Grand Clair. De tous côtés s’élèvent les chants de Fauvettes à tête noire, Pouillots véloces et Troglodytes mignons. Sur le plan d’eau, quelques Grèbes huppés, Foulques macroules et Grands Cormorans affrontent les vagues formées par le vent assez fort, qui souffle en rafales. Des Hirondelles de fenêtre rasent l’eau au loin, près de la berge opposée, accompagnées parfois d’individus plus « rustiques ». C’est alors que passe devant nous, défiant les bourrasques, une Sterne pierregarin. Nous observerons son ballet quelques instants avant de la perdre de vue. Bien plus haut dans le ciel, se font entendre quelques oiseaux à la silhouette en forme de faucille si caractéristique : les Martinets noirs.
En poursuivant vers le Marais d’Écourt-Saint-Quentin, nous verrons une Grive musicienne sur le chemin, fort occupée à régler son compte à un grand lombric ! Quelques Rousserolles verderolles se joindront aux chants d’autres oiseaux, et nous suspecterons même d’avoir entendu l’Hypolaïs polyglotte mais sans pouvoir le confirmer (cette dernière étant apparemment timide ce jour là). Arrivés au plan d’eau, nous n’y contacterons que peu d’espèces, mais entendrons dans les buissons le chant puissant et mélodieux du Rossignol philomèle. Nous aurons même la chance d’apercevoir un second individu passant d’une branche à une autre (une femelle ?). Un peu plus loin derrière, dans les arbres, nous percevrons également le roucoulement discret d’au moins deux Tourterelles des bois.
Le long du sentier longeant le Marais d’Arleux et le Vieux Marais, nous ne croiserons que relativement peu de nouvelles espèces d’oiseaux. En revanche, nous y rencontrerons beaucoup d’Odonates (Libellules et demoiselles), ainsi que d’autres insectes. Ci-dessous, quelques photographies que nous avons prises sur le terrain :
Le tour des marais nous amènent finalement à Arleux où nous prendrons la route qui nous ramène à Palluel. En ville, nous contacterons quelques espèces supplémentaires comme les Tourterelles turques et Moineaux domestiques. À l’entrée de Palluel, en contre-bas du pont passant au dessus de la petite Sensée, nous découvrirons une famille de Cygnes tuberculés composée de deux adultes et sept poussins. Sur la berge, une autre famille attire notre attention : il s’agit de trois Bergeronnettes des ruisseaux, probablement deux jeunes en compagnie d’un adulte.
Liste des espèces Animales
– Agapanthie à pilosité verdâtre (Agapanthia villosoviridescens)
– Agrion à larges pattes (Platycnemis pennipes)
– Agrion élégant (Ischnura elegans)
– Agrion exclamatif (Coenagrion pulchellum)
– Agrion jouvencelle (Coenagrion puella)
– Agrion porte-coupe (Enallagma cyathigerum)
– Bergeronnette grise
– Bergeronnette des ruisseaux
– Bouscarle de Cetti
– Caloptéryx éclatant (Calopteryx splendens)
– Canard colvert
– Cercope ou Crachat de coucou (Cercopis vulnerata)
– Choucas des tours
– Corneille noire
– Coucou gris
– Cygne tuberculé
– Fauvette à tête noire
– Fauvette des jardins
– Foulque macroule
– Gallinule poule-d’eau
– Geai des chênes
– Grand Cormoran
– Grèbe huppé
– Grimpereau des jardins
– Grive musicienne
– Héron cendré
– Hirondelle de fenêtre
– Hirondelle rustique
– Lapin de garenne
– Libellule fauve (Libellula fulva)
– Malachie à deux points (Malachius bipustulatus)
– Martinet noir
– Merle noir
– Mésange bleue
– Mésange charbonnière
– Moineau domestique
– Nymphe au corps de feu (Pyrrhosoma nymphula)
– Oedemère noble (Oedemera nobilis)
– Pic épeiche
– Pie bavarde
– Pigeon ramier
– Pinson des arbres
– Pouillot véloce
– Punaise arlequin (Graphosoma italicum)
– Pyrale de l’Ortie (Anania hortulata)
– Rossignol philomèle
– Rousserolle verderolle
– Sittelle torchepot
– Sterne pierregarin
– Sympétrum sanguin (Sympetrum sanguineum)
– Tourterelle des bois
– Tourterelle turque
– Troglodyte mignon
– Vulcain (Vanessa atalanta)
Liste des espèces Végétales
– Arctium lappa (Grande bardane, Bardane commune) – Capsella bursa–pastoris (Capselle bourse-à-pasteur, Bourse-de-capucin)
– Lamium album (Lamier blanc, Ortie blanche, Ortie morte)
– Matricaria discoidea (Matricaire fausse-camomille, Matricaire discoïde)
– Plantago major (Plantain majeur, Grand plantain, Plantain à bouquet)
– Silene latifolia (Compagnon blanc, Silène à feuilles larges)
– Stachys sylvatica (Épiaire des bois, Ortie à crapauds, Ortie puante)
– Symphytum officinale (Consoude officinale, Grande consoude)
Le marais de Palluel est une zone humide située dans le complexe marécageux de la vallée de la Sensée ouest. Il est constitué de vastes étangs, de boisements tourbeux, de peupleraies et de prairies alluviales. Il comporte une grande diversité de végétations aquatiques, amphibies et hygrophiles. Ses habitats sont connus pour être favorables à des espèces peu communes telles que le Blongios nain ou le Balbuzard pêcheur.
Le mois de Juin est une période assez calme d’un point de vue ornithologique, la plupart des espèces étant en pleine nidification. Quelques unes, un peu plus tardives, sont tout de même à noter, comme le Loriot d’Europe que nous pourrions entendre chanter dans la cime des arbres. Le Blongios nain, régulièrement chanteur en mai et juin sur le site, pourrait également être observé. Du côté des insectes, de nombreuses espèces devraient être au rendez-vous !
Espèces potentielles : Mouettes et Goélands, Martin-pêcheur d’Europe, Busard des roseaux, Passereaux paludicoles, Loriot d’Europe, Blongios nain…
Lieu de rendez-vous : Parking du Marais du Grand Clair, Impasse au bout du Chemin du Marais, 62860 Palluel. Voir plan ci-dessous (GPS : 50° 16′ 12.0 » N – 3° 05′ 32.2 » E ou 50.269995, 3.092281) – Covoiturage possible en fonction de votre lieu de départ.
Heure de rendez-vous : 8h30 – Fin vers 12h30 – Tarif d’une demi-journée
Malgré le temps quelque peu instable et quelques averses de grêles qui auront suffit à nous tremper, cette journée fut l’occasion de faire un bon nombre d’observations, à commencer par le Phragmite des joncs, dont le chant nous accompagnera sur quasiment tout le circuit.
Au début de notre promenade, un rapace de saison fait son apparition, visiblement intéressé par un champ d’escourgeon, au-dessus duquel il plane longuement, s’arrêtant parfois pour faire du vol sur place. Le corps dans les tons bruns et les ailes gris cendré aux primaires noires permettent de l’identifier facilement : il s’agit d’un mâle de Busard des roseaux. En poursuivant notre chemin, des Perdrix grises et Faisans de Colchide s’envolent d’un champ à notre passage, tandis qu’au dessus de nous passent des dizaines d’Hirondelles rustiques auxquelles se mêlent des Hirondelles de fenêtre.
Sur la première mare de chasse que nous croisons, la vasière apparente nous offre nos premiers limicoles : Vanneaux huppés, Avocettes élégantes, Petits gravelots, Tournepierre à collier et deux Bécasseaux de Temminck !
Un peu plus loin, de l’autre côté d’une route, un plan d’eau semble tout aussi intéressant, mais le fort vent de face ne nous facilite pas la tâche et complique l’identification de tous les oiseaux présents. Nous parvenons toutefois à distinguer des Échasses blanches, Sarcelles d’été et Chevaliers gambettes.
Le long du « Chemin des huttes », les nombreuses mares ajoutent quelques oiseaux à notre liste. Nous notons ainsi un grand groupe de Cygnes tuberculés, un Martin-pêcheur d’Europe, des Spatules blanches, des Goélands bruns, des Tadornes de Belon, deux Chevaliers guignettes et des Barges à queue noire.
La fin de la ballade est en revanche assez calme, tout juste ponctuée par le chant des Alouettes des champs. En revenant vers la ville, nous trouvons dans la végétation une espèce de punaise, la Corée marginée (Coreus marginatus). Nous en profitons également pour dresser la liste de toutes les espèces végétales que nous avons observées.
Au cœur de la vallée de la Marque, ces marais, partagés entre les communes de Fretin, Péronne-en-Mélantois et Templeuve, ont été restaurés et entièrement réaménagés par le département du Nord.
Situé à quelques kilomètres de la métropole lilloise, le site s’impose comme l’un des plus intéressants de l’agglomération, et permet l’observation d’un large cortège d’espèces aquatiques.
Le mois de Mai se distingue comme étant celui où la biodiversité est maximale, avec le retour de la grande majorité des espèces nicheuses et le passage de nombreux migrateurs. Il est donc tout à fait possible d’observer un certain nombre de limicoles en halte comme les Chevaliers culblancs et guignettes, le Petit Gravelot ou encore d’autres espèces. Du côté de la roselière, à l’est de l’autoroute, il nous faudra prêter attention à la Gorgebleue à miroir et à la Locustelle tachetée. Les zones de buissons et d’orties seront, quant à elles, favorables à la Rousserolle verderolle et nous pourrions même y croiser, avec de la chance, la Loscustelle luscinoïde. Enfin, la peupleraie pourrait également nous réserver son lot de surprises !
Espèces potentielles : Bécassine des marais, Martin-pêcheur d’Europe, Chevaliers, Bécasseaux, Petit gravelot, Gorgebleue à miroir, Locustelles, Phragmite des joncs, Bruant des roseaux, Rousserolles, Loriot d’Europe, Coucou gris, Rossignol philomèle, Tourterelle des bois…
Lieu de rendez-vous : Parking du site, Route de Templeuve, 59273 Fretin. Voir plan ci-dessous (GPS : 50° 33′ 28.8 » N – 3° 09′ 46.8 » E ou 50.557996, 3.162999) – Covoiturage possible en fonction de votre lieu de départ.
Heure de rendez-vous : 8h30 – Fin vers 12h30 – Tarif d’une demi-journée
Les plaines des Moëres correspondent à une ancienne zone marécageuse, située sous le niveau de la mer, dans la région de Dunkerque et à cheval sur l’actuelle frontière franco-belge. Des travaux de poldérisation (endiguement, drainage et pompage) réalisés il y a plusieurs siècles (entre 1617 et 1627) ont permis de gagner ces terres sur la mer. Elles sont donc aujourd’hui constituées d’un réseau dense de fossés et de canaux, ainsi que d’une mosaïque d’habitats remarquables. Prairies humides, mares de chasse au niveau d’eau variable et bassins de décantation sont d’un intérêt particulier pour les oiseaux en halte migratoire au printemps (limicoles, ardéidés, anatidés). Ce sont également des zones de nidification pour les avocettes, échasses, Barges à queue noire et de nombreux passereaux paludicoles.
Cette sortie nous emmènera ainsi à la découverte de cette zone humide et de l’avifaune qui y réside. Nous rechercherons aussi, si le temps s’y prête, les insectes qui la peuplent.
Lieu de rendez-vous : Parking Rue des Moëres, 59122 Hondschoote (au besoin, possibilité de se garer juste avant, Parking Rue de Cassel). Voir plan ci-dessous (GPS : 50° 58′ 46.0″ N – 2° 34′ 44.8″ E ou 50.979432, 2.579108) – Covoiturage à privilégier !
Heures de rendez-vous : 9h00 – Fin vers 15-16h – Tarif d’une journée (prix de groupes possible)
Cette sortie était consacrée à la recherche du Merle à plastron, mais ce dernier ne se montrera pas cette journée. Il faut dire qu’il s’agit d’une espèce plutôt farouche et la fréquentation du site le week-end aura peut-être jouée contre nous. En revanche, malgré des températures proches de 0°C en début de matinée, l’activité des autres espèces est importante. Les Accenteurs mouchets ne tiennent véritablement pas en place et alternent entre chants et poursuites. Les Mésanges, Pinsons des arbres, Fauvettes à tête noire, Troglodytes mignons, Rougegorges familiers et Pouillots véloces ne sont pas en reste : nous les entendrons sur quasiment tout le site. Mais ce qui retiendra dans un premier temps notre attention, ce sont deux grosses boules de plumes rougeâtres dans un arbre (l’une plus vivement colorée que l’autre). Ces oiseaux aux couleurs pourtant vives sont relativement discrets et peuvent s’avérer plus difficiles à repérer qu’il n’y parait : il s’agit, certains d’entre vous les auront reconnus, de Bouvreuils pivoines (probablement un couple).
En poursuivant notre visite, nous contacterons ensuite quelques nouvelles espèces de retour de migration, à commencer par un proche cousin du Pouillot véloce : le Pouillot fitis. Nous ne l’apercevrons pas dans les feuillages mais aurons tout le loisir de nous familiariser avec son chant. Nous pourrons ensuite admirer, perché bien en évidence au sommet d’un arbre, un Bruant jaunechantant presque sans interruption.
Il nous faudra un peu plus de patience pour capter la Fauvette grisette, bondissant de buissons en arbustes. Mais à force de persévérance, elle finira par prendre la pose tout en déclamant quelques notes !
Une Alouette des champs viendra clôturer la visite, accompagnée par le passage en vol de quelques Linottes mélodieuses.
Liste des espèces
– Accenteur mouchet
– Alouette des champs
– Bouvreuil pivoine
– Bruant jaune
– Choucas des tours
– Corneille noire
– Faisan de Colchide
– Fauvette à tête noire
– Fauvette grisette
– Geai des chênes
– Grand Cormoran
– Lapin de garenne
– Lièvre d’Europe
– Linotte mélodieuse
– Merle noir
– Mésange à longue queue
– Mésange bleue
– Mésange charbonnière
– Pie bavarde
– Pigeon ramier
– Pinson des arbres
– Pouillot fitis
– Pouillot véloce
– Rougegorge familier
– Tourterelle turque
– Troglodyte mignon
Les terrils du Pays à Part, situés à Haillicourt, présentent la particularité d’être jumeaux. Culminant à 180m les terrils n°2 et 3 dominent le paysage et offrent une vue imprenable sur les paysages de l’Artois et la chaîne des terrils. La diversité des milieux du site (sources, plans d’eau, pelouses, versants rocailleux, zones humides et boisements) crée des conditions de vie favorables à de nombreuses espèces. La couleur sombre des terrils et leur exposition au soleil permettent également le développement d’une flore et d’une faune très spécifique.
La mi-avril est une période clef pour la recherche d’une espèce étroitement liée à ces sombres collines pendant la migration pré-nuptiale : le Merle à plastron. Plus farouche que le Merle noir, ce dernier peut être observé partout, mais en particulier sur les zones de transition entre les arbres et les pentes dénudées, de préférence au lever du jour. Les zones boisées et humides devraient, quant à elles, nous permettre respectivement d’aller à la rencontre des espèces forestières et aquatiques.
En fonction du temps restant, nous pourrons aussi faire un saut aux terrils des Falandes à proximité.
Espèces potentielles : Merle à plastron, Rougequeue noir, Fauvette à tête noire, rapaces, espèces aquatiques et forestières communes, …
Lieu de rendez-vous : Rue de la Lampisterie, 62940 Haillicourt. Voir plan ci-dessous (GPS : 50° 27′ 55.2″ N – 2° 33′ 56.2″ E ou 50.465335, 2.565620) – Covoiturage possible !
Heures de rendez-vous : 8h30 – Fin vers 12h30 – Tarif d’une demi-journée (prix de groupes possible)